On pense souvent que la meilleure période pour voyager en Asie du Sud-Est, c’est la saison sèche. Pourtant, partir en basse saison — souvent entre mai et octobre selon les pays — peut réserver de très belles surprises… tout en ayant un impact plus doux sur les territoires visités.
Oui, il pleut… mais pas toute la journée !
La « saison des pluies » ne signifie pas des jours entiers sous l’eau. Les averses sont souvent courtes, en fin de journée ou la nuit, et permettent de rafraîchir l’atmosphère. En journée, le soleil brille, les rizières sont d’un vert éclatant et les paysages luxuriants.
Une immersion plus authentique
Moins de touristes, c’est plus d’espace, de calme, et d’interactions sincères avec les locaux. Vous évitez la foule dans les temples d’Angkor, trouvez plus facilement un bungalow sur une plage thaïlandaise, et partagez le quotidien de vos hôtes sans filtre.
Des prix plus doux
Hébergements, vols, activités… Les tarifs sont souvent plus avantageux. De nombreux prestataires locaux proposent aussi des offres pour stimuler la fréquentation. Voyager en basse saison, c’est aussi soutenir des communautés qui dépendent du tourisme pour vivre toute l’année.
Un impact environnemental moindre
Répartir les flux touristiques dans l’année permet de limiter la pression sur les ressources locales (eau, énergie, déchets). C’est un acte écoresponsable simple, mais efficace, pour contribuer à un tourisme plus équilibré.
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